UK Manufactured Animal Incineration Machines

Exceptional Quality.

Our incinerators are crafted on-site in Britain.

Frequently Asked Questions - FAQs

At Addfield we have a range of solutions available to suit all of your incineration and cremation needs.

To help you discover the answers to your most frequently asked questions please choose from one of the categories below.

New Business Development Director James Grant

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Incinérateurs pour déchets médicaux

  • Un incinérateur peut-il aider à arrêter la transmission du Coronavirus?

    L’élimination à haute température des déchets infectés détruira totalement le virus, limitant toute propagation éventuelle. Toutefois, un incinérateur joue un rôle partiel dans l’arrêt d’une pandémie virale comme le Coronavirus. C’est un maillon essentiel dans l’application de plusieurs mesures sanitaire tel que le confinement sociale, l’hygiène personnelle, le suivi et l’élimination totale des déchets. L’incinération devrait faire partie d’un système de gestion des déchets de biosécurité robuste qui, une fois suivi proprement, sauvera des vies.

  • Puis-je attraper le coronavirus à partir de déchets médicaux?

    Il n’est pas entièrement établi s’il est possible d’être infecté par le Coronavirus à partir de déchets médicaux. Cependant, en raison de la nature des infections virales et de la capacité du virus à vivre pendant plusieurs jours sur des articles non organiques, nous ne pouvons que supposer que les risques d’attraper le coronavirus à partir de déchets contaminés sont très élevés. Ces déchets ne doivent être manipulés que par un professionnel compétent portant un équipement de protection individuelle approprié. Nous recommandons l’usage  de sacs à déchets, de poubelles et d’EPI appropriés pendant le processus d’incinération pour la destruction sécurisée de ce type de déchets classés dangereux.

  • Les déchets de coronavirus sont-ils dangereux?

    Les déchets de Coronavirus ne doivent pas être considérés comme inoffensifs. Selon  les résultats des recherches préliminaires, nous savons que le virus peut vivre jusqu’à 9 jours sur certains matériaux tels que le verre et le métal. Bien que nous ne sachions pas dans quelle mesure il est probable d’être infecté par un tel contact. Toutefois nous savons avec certitude  que les déchets médicaux en général doivent toujours être traités comme dangereux et éliminés par conséquence.

  • Une fois séparés, les déchets sont-ils jetés dans une poubelle?

    Une fois mis en sac et emballés, les déchets médicaux doivent être triés de manière appropriée avant d’être éliminés. Il faut éviter de recombiner les diverses catégories de déchets dans la même poubelle.

    La réglementation confirme que les déchets médicaux doivent être séparés par typologie. Aucun mélange de type de sac ne doit être admis et  cela en vue de réduire les risques d’élimination inappropriée tout en limitant le niveau de contact qui se ferait en aval par le triage des sacs mixtes de déchets avant leur incinération finale.

    Vous constaterez le plus souvent que les déchets médicaux seront placés dans des poubelles à roulettes «jaunes» spécialement marquées ; ces dernières sont ensuite marquées  avec des numéros d’identification uniques permettant de suivre les déchets jusqu’à leur destruction finale.

    Ces numéros d’identification sont particulièrement importants lorsque les déchets ne sont pas éliminés directement sur site mais collectés. Il est important d’assurer un parcours de responsabilisation clair et accessible, y compris la date et le lieu exacts où les déchets ont été créés et collectés, jusqu’à l’heure, la date et le lieu où les déchets ont été incinérés. Assurer une traçabilité claire et éviter la possibilité d’altération et de déversement illégal.

  • Que font les hôpitaux avec leurs déchets?

    La majorité des hôpitaux dans le monde entier prennent en compte les risques posés à l’environnement dans leur plan de gestion des déchets médicaux. Pour certains fournisseurs de soins de santé, Il existe encore malheureusement plusieurs obstacles liés au financement et à l’infrastructure qui font faire barrage à cette approche. La majorité des pays développés aurait déjà un système solide en place, comprenant souvent des installations d’incinération sur site capables de détruire des centaines de kilogrammes voir plusieurs tonnes de déchets par jour.

    Lorsqu’un hôpital n’est pas équipé d’incinérateur sur place, il fait recourt souvent au service d’une société de collecte des déchets qui ramasse puis élimine les déchets sur plusieurs sites ou dans des installations d’incinération parallèles.

    Dans certains pays en développement, il est plus courant de trouver des incinérateurs médicaux inadaptés à plus petite échelle situés dans la cour des hôpitaux.

    Malheureusement, tous ces pays n’ont pas cette facilité d’accès à des systèmes d’élimination sûrs, ce qui donne à assister à des brûlages de déchets à ciel ouvert ou même des brûlages dans des fours de combustion polluant. Ces approches sont très dangereuses et propagent le risque de contamination du sol, la faune et affectent la qualité de vie des résidents autour de ces endroits.

  • Quelle sorte de déchets sont produits par les hôpitaux?

    Les déchets hospitaliers sont répartis généralement en quatre catégories principales qui sont ensuite segmentées par type de déchets (voir la FAQ sur la catégorisation des déchets médicaux).

    La catégorie de déchets la plus courante et la plus volumineuse est celle des déchets «infectieux», cela inclus les équipements  de protection personnels, tels que les masques, les blouses et les gants, portés par les médecins et les infirmières. Ces déchets infectieux seront mis en sac avant leur élimination appropriée par incinération.

    Ensuite, vous trouverez des déchets «tranchants», le plus souvent constitués d’aiguilles et de seringues, ceux-ci sont placés dans des conteneurs et peuvent être éliminés par incinération. L’incinération ne détruit pas le métal ; mais la haute température stérilise complètement ces métaux facilitant leur recyclage.

    Les déchets médicaux «redondants» sont composés des produits pharmaceutiques périmés et autre produits similaires à éliminer. Encore une fois, pour éviter des problèmes environnementaux, ces derniers ne doivent pas être éliminés par mise en décharge, mais incinérés.

    Les médicaments périmés sont à leur tour divisés en deux autres catégories: dangereux, c’est-à-dire ceux qui contiennent des médicaments cytotoxiques et cytostatiques; et non dangereux, qui ne contient pas ces produits chimiques.

    Enfin, vous avez  des déchets «anatomiques» qui englobent les parties du corps, les organes et les déchets chirurgicaux.

    Chaque catégorie est collectée dans son type de conteneur adapté pour être éliminer, le plus souvent par un incinérateur médical certifié.

  • Pouvez-vous jeter les déchets médicaux?

    Non, vous ne devez jamais simplement jeter les déchets médicaux. Ces déchets générés dans le cadre des soins médicaux prennent de nombreuses formes et presque tous comportent des risques potentiels de propagation de maladies et d’infections. Les déchets médicaux entrent dans une sélection de catégories (voir FAQ sur la catégorisation des déchets médicaux). Tous les déchets dangereux  ne doivent jamais être  assimilés avec les déchets ménagers destinés à l’enfouissement/ décharges publiques.

    En vue de protéger l’environnement contre les risques biologiques, des méthodes d’élimination appropriées doivent être suivies pour chaque type de déchet.

  • Quels sont les risques liés aux déchets de coronavirus?

    Le Coronavirus (également connu sous le nom de COVID-19) est un virus qui est communément décrit comme des micro-organismes qui se développent au sein d’un organisme hôte avec des capacités différentes de survivre plus longtemps dans un environnement ouvert. Il est reconnu que le Coronavirus peut rester infectieux pendant plusieurs jours sur plusieurs surfaces

    Les résultats des recherches menés à ce jour suggèrent que le Coronavirus peut rester actif sur les plastiques, le verre et l’acier inoxydable pendant soixante-douze heures et  voir neuf jours. Ce qui signifie une augmentation considérable des risques de contamination même sans contact direct avec une autre personne physique.

    En conséquence les déchets issus des activités des soins des patients atteints du coronavirus sont potentiellement très contagieux et nécessiteraient une élimination appropriée immédiate par le moyen d’un incinérateur médical adapté.

  • Comment détruire les déchets de coronavirus?

    Pendant cette pandémie mondiale actuelle de Coronavirus, il faut s’attendre à une augmentation spectaculaire de la quantité de déchets médicaux produits. Avec le nombre croissant de personnes ayant besoin de soins médicaux, les centres de soins devront faire face inévitablement au volume de déchets médicaux mixtes et dangereux à détruire.

    Les déchets de Coronavirus devront  être incinérés pour éliminer en toute sécurité les risques d’une contamination croisée. Pour leur destruction efficace  et l’élimination des  risques associés aux déchets de Coronavirus pour la communauté locale, un incinérateur médical spécialisé approprié serait nécessaire.

  • De quel incinérateur médical ai-je besoin?

    Chaque installation devrait dimensionner la capacité de son incinérateur en fonction de la quantité de déchets qu’elle traite.

    Par exemple une entreprise de gestion des déchets, peut exprimer ses quantités en «kg» «m3» ou en nombre de sacs de 1100/770/240 litres collectés en une journée.

    Pour un hôpital, cette valeur peut encore être exprimée en termes physiques ou en nombre de lits qu’un hôpital spécifique peut recevoir. Avec ces informations, nous pouvons estimer la quantité de déchets qui sera générée par lit occupé. Cette valeur se situe généralement entre 0,3 kg et 0,8 kg, mais peut varier en fonction de l’emplacement géographique et des pratiques de tri des déchets en place.

    Veuillez nous contacter pour plus d’informations.

    Il est également recommandé de prévoir dans vos estimations, une capacité supplémentaire qui prend en compte une augmentation de vos charges futures.

    Deuxièmement, le type de déchets médicaux que vous cherchez à éliminer joue un rôle majeur pour déterminer la capacité thermique et le choix du type d’incinérateur le mieux adapté.

    Voir ‘Comment le pouvoir calorifique des déchets détermine le processus d’incinération’ ci-dessous

  • Catégorisation des déchets médicaux

    Déchets anatomiques humains (tissus humains, organes, parties du corps).

    • Catégorie: 1.
    • Méthode de stockage: sac jaune en plastique.
    • Méthode de traitement / type d’élimination: incinération utilisant les séries Addfield C et MP.

    Déchets animaux (tissus animaux, organes, parties du corps, carcasses, liquide, sang).

    • Catégorie: 2.
    • Méthode de stockage: sac jaune en plastique.
    • Méthode de traitement / type d’élimination: incinération avec la gamme d’incinérateur Agriculture Addfield.

    Déchets de microbiologie et de biotechnologie (cultures de laboratoire, stocks, échantillons, culture cellulaire, dispositifs utilisés pour le transfert)

    • Catégorie: 3.
    • Méthode de stockage: Conteneur désinfecté / sac rouge en plastique.
    • Méthode de traitement / type d’élimination: séries Addfield C et MP.

    Déchets tranchants (aiguilles, seringues, lames de scalpels, verre).

    • Catégorie: 4.
    • Rangement: sac rouge en plastique.
    • Méthode de traitement / type d’élimination: séries Addfield C et MP.

    Médicaments expirés  et médicaments cytotoxiques (médicaments périmés, contaminés ou jetés).

    • Catégorie: 5.
    • Rangement: sac jaune en plastique.
    • Méthode de traitement / type d’élimination: série Addfield C.

    Déchets solides (contaminés par du sang ou des fluides – pansement, coton, plâtre, litière).

    • Catégorie: 6.
    • Stockage: Conteneur désinfecté / Sac jaune en plastique.
    • Méthode de traitement / type d’élimination: série Addfield C.

    Déchets solides infectieux (gants, tubes, cathéters, verre).

    • Catégorie: 7.
    • Rangement: sac rouge en plastique.
    • Méthode de traitement / type d’élimination: Traitement chimique, autoclavage ou micro-ondes. Mutilation ou déchiquetage. Recyclage.

    Déchets liquides (lavage, nettoyage, désinfection en laboratoire).

    • Catégorie: 8.
    • Méthode de traitement / Type d’élimination: Traitement chimique.

    Cendre d’incinération.

    • Catégorie: 9.
    • Méthode de traitement / type d’élimination: décharge municipale.

    Déchets chimiques.

    • Catégorie: 10.
    • Stockage: Récipient bleu increvable.
    • Méthode de traitement / type d’élimination: désinfection chimique. Elimination solide dans une décharge sécurisée.
  • La chambre de postcombustion

    La méthode de filtration primaire sur tous les incinérateurs Addfield est la chambre de postcombustion secondaire. Les fumées d’incinération qui en résultent sont oxydées par la methode thermique de filtration. Pour assurer une oxydation complète et effective, les gaz de combustion doivent rester dans la chambre secondaire pendant au moins deux secondes, l’O.M.S. stipule que «si des déchets dangereux contenant plus de 1% de substances organiques halogénées, exprimées en chlore, sont incinérés, la température doit être portée à au moins 1100 ° C» dans la chambre secondaire.

    Lignes directrices pour l’élimination sans danger des produits pharmaceutiques indésirables dans et après les situations d’urgence, WHO / EDM / PAR / 99, Organisation mondiale de la santé.

    D’autres méthodes de la filtration sont également disponibles, et peuvent être trouvées ici: https://addfield.wpengine.com/filtration/ Ces systèmes ne conviendront pas à chaque flux de déchets ; ce qui suit vous donnera un aperçu général des méthodes alternatives d’épuration de gaz viciés. Toutefois veuillez avant nous consulter pour des informations complémentaires en fonction de chaque type de déchets.

    Kits de réduction de température:

    Pour prévenir la reformation des dioxines et des furannes

    Kits DeNox: [Lien Kit DeNox]

    Généralement requis uniquement sur les centrales diesel de grande capacité pour éliminer ou réduire les émissions de NOx.

    Séparateur Cyclonique: [Lien Cyclone]

    Un système d’épurateur rentable, avec généralement un taux d’élimination allant jusqu’à 50-60% sur certains paramètres

    Système d’épuration a voie humide: [Lien de l’épurateur humide]

    Un système d’élimination très efficace, qui atteint un taux d’élimination particulièrement élevé tout en empêchant la reformation des dioxines.

    Systèmes de filtration en céramique: [Lien de filtration en céramique]

    L’un des systèmes d’élimination les plus efficaces du marché, avec un taux d’élimination allant jusqu’à 97% de certains paramètres ;il nécessite cependant une plus grande zone de mise en œuvre.

    Epurateurs d’acide: [Lien d’épurateur d’acide]

    Un système efficace pour éliminer les gaz acides tels que SO2, HCL avec l’utilisation de chaux hydratée.

  • Quelles sont les méthodes de filtration ?

    Il y a différentes étapes de filtration pour les systèmes d’incinération, certaines sont obligatoires et d’autres peuvent être sont recommandées en fonction du flux et la capacité de traitement des déchets. L’existence d’une chambre secondaire est la méthode de filtration primaire sur tous les incinérateurs et les fours de crémation Addfield. Les fumées de gaz d’incinération sont oxydées dans la chambre secondaire .Pour assurer une oxydation complète et approfondie des gaz de combustion ces derniers doivent rester dans la chambre durant un temps minimum de deux secondes (voir la simulation CFD pour comprendre comment cela est réalisé) conformement aux Lignes directrices pour l’élimination en toute sécurité des produits pharmaceutiques non utilisés pendant et après les situations d’urgence, l’OMS / EDM / PAR / 99, Organisation mondiale de la santé. [Insérer le lien –http://www.who.int/water_sanitation_health/medicalwaste/unwantpharm.pdf

  • Qu’en est-il des émissions des incinérateurs pour déchets médicaux?

    Les incinérateurs de déchets médicaux doivent satisfaire des valeurs limites d’émission spécifiques ; ces limites varient en fonction de l’emplacement géophysique de l’installation d’une machine. Par exemple, les limites d’émission au Royaume-Uni sont de loin plus exigeantes que celles d’Asie. Comme référence toutes nos machines sont conçues pour satisfaire et même dépasser les normes les plus strictes ; ainsi lorsque vous achetez un incinérateur Addfield, soyez rassurer du plus haut standard de qualité fournit par un fabricant européen crédible.

    Nos machines sont testées pour satisfaire les limites d’émissions conforme aux normes de protection environnementales les plus strictes.

  • Que rechercher dans un incinérateur médical ?

    L’élimination par incinération des déchets médicaux, représente un danger biologique en raison de la nature des matières qui sont traitées. A ce titre, il est extrêmement important de choisir une machine qui est robuste et fiable à long terme.

    Un caisson d’acier épais assurera la durabilité à long terme et s’avère tout aussi important qu’un design efficace. Une conception modulaire réfractaire, comme les monolithiques ou briques réfractaires garantissent le maintien à long terme de la machine tout en prolongeant encore son cycle de vie. En outre, avec un design efficace et un revêtement réfractaire épais dépassant 150mm l’incinérateur opérera sous des contraintes thermiques minimales et une consommation réduite de carburant.