08/04/20

Soutien aux organismes d’aide internationale qui luttent contre le coronavirus

Alors que les systèmes de santé du monde entier luttent sous le poids de la pression supplémentaire causée par le coronavirus. Des millions de tonnes de déchets dangereux supplémentaires vont être générés. La question que beaucoup négligent est de savoir ce qui va se passer avec ces déchets et si cela va accroître la propagation.

Après des années de collaboration avec des organismes d’aide internationale, nous sommes très fiers d’avoir été officiellement reconnus par MSF (Médecins sans frontières) comme un fournisseur clé pour la gestion de l’élimination des déchets médicaux au moyen d’incinérateurs médicaux.

Après un examen et des tests intensifs de notre gamme de déchets médicaux, les incinérateurs rejoignent les rangs en haut de la liste des fournisseurs agréés après avoir comparé leur qualité, leurs performances, leur assistance, leur réseau de distribution et leur portée internationale avec d’autres fabricants.

« Depuis de nombreuses années, nous soutenons fièrement des organismes d’aide tels que l’UNOPS, MSF et l’Unicef, avec des projets récents notables au Bangladesh, en Sierra Leone, au Yémen et, plus récemment, au Tadjikistan. Nous avons toujours eu pour objectif de fournir des machines qui dureront au-delà de la durée de vie initiale des projets dans lesquels elles sont souvent installées. Nous veillons à ce que nos machines soient capables de soutenir les communautés pendant des décennies plutôt qu’à court terme. Nous sommes honorés d’avoir été reconnus comme un fournisseur de confiance et nous comprenons la valeur que cette reconnaissance aura pour nos futurs clients. » Derek Carr, directeur des opérations

L’importance d’une telle reconnaissance est vitale en cette période sans précédent, car la gestion des déchets dangereux peut faire une différence considérable dans la protection des communautés contre les infections virales. Dans la plupart des régions développées bénéficiant d’installations médicales établies, cela ne constituera pas un problème insurmontable. Leurs systèmes de soins de santé se recentrant sur les tâches les plus importantes à accomplir, les déchets générés seront directement dirigés vers leurs systèmes de traitement existants.

Cependant, pour les pays dont les moyens de gestion des déchets sont moins établis, cette pression supplémentaire pourrait accroître la propagation de la maladie. Augmenter les risques et allonger le temps nécessaire à la réduction du taux d’infection. Il n’est pas rare, dans les régions moins développées ou préparées, que les déchets médicaux soient jetés sur des terrains vagues ou brûlés dans des fosses à feu ouvert, deux approches qui présentent le risque très élevé de propager la maladie au lieu de la contenir.

Il est mondialement reconnu que le moyen le plus sûr de neutraliser et de détruire les déchets médicaux dangereux est une incinération appropriée. En atteignant des températures supérieures à 850°C, les risques sont totalement éliminés, car tous les agents viraux ou bactériens sont complètement détruits.

Nous avons déjà soutenu des projets de lutte contre Ebola, Zika, la rougeole et le VIH dans de nombreux endroits reculés. Nous sommes convaincus que l’impact prolongé du coronavirus se poursuivra longtemps après qu’il aura fait la une des journaux. Et nous espérons que nous pourrons continuer à contribuer à la prévention de futures épidémies. Pour plus d’informations sur la façon dont Addfield a travaillé avec de nombreuses agences d’aide internationale, visitez notre section Études